Non à la présence de Gabriel Zucman à Aix-en-Provence !

Et si on bloquait la conférence de Gabriel Zucman à Aix, comme l’extrême gauche l’a fait avec la "Nuit du Bien Commun" et "La Dame de Pierre" ? Trouble à l’ordre public, tentatives de perturbation, atteintes revendiquées à la liberté d’expression… tout cela semble devenu acceptable dans notre cité, sans que les autorités ne s’en émeuvent réellement.

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e jeudi 1er décembre prochain, l’amphithéâtre de l’Université Sciences Po d’Aix-Marseille s’apprête à accueillir une conférence animée par l’économiste Gabriel Zucman. Sous couvert d’un débat académique prétendument neutre, ces rencontres servent en réalité de cheval de Troie au projet de l’extrême gauche.

Ce projet vise ouvertement à imposer les théories de l’extrême-gauche dans les universités. Il est porté par l’économiste militant Gabriel Zucman, théoricien d’une fiscalité punitive. Ces conférences permettent à des organisations idéologiquement marquées à gauche de diffuser leurs thèses sur la haine de classe. Ce sont également des moments de réseautage et de structuration de la gauche radicale locale.

La galaxie Zucman constitue une véritable menace pour la liberté entrepreneuriale et le tissu économique local. Partout où l’extrême gauche progresse, les libertés académiques se retrouvent instrumentalisées, et les entreprises sont pointées du doigt comme des adversaires de classe.

Rappelons que dès son émergence dans le débat public, Zucman s’est illustré par une vision haineuse du secteur privé prospère, accusé d’être “insuffisamment redistributif”. La région PACA subit déjà l’influence d’élus et de structures universitaires favorables aux réformes fiscales coercitives inspirées par ces cercles idéologiques.

Refusons que nos institutions deviennent la caisse de résonance d’économistes militants qui prétendent dicter l’intérêt général ! Le financement de la vie publique par une vision exclusivement marxiste de l’impôt n’est pas une alternative souhaitable, mais dangereuse.

Ne laissons aucun répit à Gabriel Zucman et son monde ! Partout où l’extrême gauche s’offre une tribune, il faut s’opposer :
- dénoncer ses idées néo-égalitaristes, bureaucratiques et ultra réglemenataires,
- défendre la liberté économique et la stabilité du financement des entreprises locales,
- demander l’abrogation des mesures fiscales punitives qui fragilisent les classes moyennes et l’activité productive.

Il faut maintenir la pression contre les conférences promues par Zucman en manifestant notre désaccord.

Article par Jibril Riqueti