Solidarité interdite à Aix : quand l’extrême gauche chasse les philanthropes

Reconstitution par IA, utilisée uniquement à des fins illustratives.

Le gala de levée de fonds, censé illuminer la salle 6MIC à Aix-en-Provence le 6 octobre et soutenir de nobles projets associatifs, a été scandaleusement annulé… par un groupe de militants d’extrême gauche, visiblement allergiques à la générosité quand elle a le mauvais goût de venir avec un nom de milliardaire dessus. Entre insultes et menaces verbales, nos amis rouges ont triomphé : le gala, nommé "Nuit du bien commun" est mort avant même d’avoir commencé.

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L

e crime ? Un certain Pierre-Édouard Stérin figure parmi les fondateurs, pourtant retiré du projet. Oui, ce milliardaire — déjà une offense monumentale pour la gauche — mais pire encore : il ose se déclarer catholique et conservateur. La faute est odieuse, le scandale monumental, et la morale bien sûr, intouchable.

Mais rassurez-vous, ces mêmes militants ne levèront pas un sourcil lorsqu’un stand du journal Le Monde s’installera dans l’un de leurs colloques ou festivals culturels. Après tout, l’un des propriétairesde ce quotidien - Matthieu Pigasse - est un multi-millionnaire qui a officiellement soutenu l’extrême gauche de monsieur Mélenchon via le NFP aux dernières législatives, et qui a même permis le retour de l’abjecte polémiste Guillaume Meurice sur Radio Nova. Coïncidence ? Certainement pas.

Ah, et n’oublions pas la cohérence exemplaire de la Gauche aixoise : celle qui défile quotidiennement avec SOS Racisme et la Ligue des Droits de l’Homme. Ces illustres défenseurs de la morale sont partiellement financés par l’Open Society Foundations de George Soros, milliardaire américain de gauche soupçonné, entre autre, par le Department of Justice (DOJ) de « Soutien matériel à des activités terroristes » et « Conspiration ou incitation à l’émeute ». Eh oui, Portland, Washington D.C., Los Angeles, 2025… rien que ça. Mais ça, évidemment, ça passe.

Bref, chers lecteurs, souvenez-vous : certains crimes contre la bienséance ne se mesurent pas en insultes, mais en convictions… quand elles sont trop chrétiennes ou trop conservatrices pour plaire à nos amis de la gauche radicale.

Article par Jibril Riqueti