L’édile azuréen, président de l’Association des maires de France et figure pressentie pour la prochaine présidentielle, s’est installé à la brasserie Colde, rue Thiers, pour dédicacer son dernier ouvrage. Sa venue a suscité un vif intérêt auprès des partisans aixois du libéralisme bien compris, signe d’un espoir partagé et d’une intelligence collective.
Dans une ville et une collectivité alourdies par la fiscalité et étouffées par des réglementations toujours plus contraignantes, le libéralisme authentique peine parfois à se faire entendre. Celui que promeut David Lisnard, maire de Cannes, s’oppose radicalement au libéralisme de connivence qui prospère dans les couloirs d’un pouvoir centralisé, où l’État providence nourrit clientélisme et gabegie. Le libéralisme bien compris, celui des Lumières et de Tocqueville, repose au contraire sur l’initiative privée, la responsabilité individuelle et la liberté comme moteur de réussite collective.
Le déclassement de nos collectivités est lié à un système « techno-conformiste » qui étouffe la prise de décision locale sous le poids de la bureaucratie et du collectivisme trop redistributif. Dans ce contexte, la défense de la propriété privée et de la liberté individuelle doit redevenir la priorité, guidant l’action municipale pour protéger un notre art de vivre et régénérer la démocratie locale. La rigueur budgétaire et la responsabilité ne sont pas de vains mots : elles sont la condition pour que la ville prospère tout en respectant ses habitants.
Ainsi, la visite de David Lisnard à Aix-en-Provence n’est pas seulement un événement symbolique : elle rappelle que le libéralisme bien compris peut et doit être le ciment d’une droite locale ambitieuse et pragmatique, capable de se réinventer et d’assurer une gestion exemplaire au service des citoyens. Ainsi va Aix !
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ean-Christophe Gruvel, Brigitte Devésa, Rémi Capeau, Philippe Klein et de nombreux autres acteurs locaux étaient présents, formant un panel solide qui illustre l’ancrage d’un courant de pensée attaché à la responsabilité individuelle et à l’efficacité locale.Dans une ville et une collectivité alourdies par la fiscalité et étouffées par des réglementations toujours plus contraignantes, le libéralisme authentique peine parfois à se faire entendre. Celui que promeut David Lisnard, maire de Cannes, s’oppose radicalement au libéralisme de connivence qui prospère dans les couloirs d’un pouvoir centralisé, où l’État providence nourrit clientélisme et gabegie. Le libéralisme bien compris, celui des Lumières et de Tocqueville, repose au contraire sur l’initiative privée, la responsabilité individuelle et la liberté comme moteur de réussite collective.
Le déclassement de nos collectivités est lié à un système « techno-conformiste » qui étouffe la prise de décision locale sous le poids de la bureaucratie et du collectivisme trop redistributif. Dans ce contexte, la défense de la propriété privée et de la liberté individuelle doit redevenir la priorité, guidant l’action municipale pour protéger un notre art de vivre et régénérer la démocratie locale. La rigueur budgétaire et la responsabilité ne sont pas de vains mots : elles sont la condition pour que la ville prospère tout en respectant ses habitants.
Ainsi, la visite de David Lisnard à Aix-en-Provence n’est pas seulement un événement symbolique : elle rappelle que le libéralisme bien compris peut et doit être le ciment d’une droite locale ambitieuse et pragmatique, capable de se réinventer et d’assurer une gestion exemplaire au service des citoyens. Ainsi va Aix !
Article par J. Rèvegule

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